C’est un vrai coup dur que vit la plupart dds opérateurs culturels guinéens depuis la baisse d’activité de la scène musicale avec les deux problèmes actuels du pays ( la crise socio-politique et celle sanitaire qui frappe le monde ). Sans espoir de dédommagement, ils s’apitoient en pensant en leurs différents investissements.
Avec les reports ou les annulations en cascade de festivals et concerts ces derniers temps, les conséquences de la pandémie du coronavirus vient endurcir la situation et toucher gravement le milieu musical.
Si pour le moment on ne peut pas évaluer exactement les conséquences économiques pour ces opérateurs culturels, il est temps que L’Etat mobilise un fond pour les venir en aide. Beaucoup sont impactés directement car ils ont perdu assez d’argent. Voici quelques réactions :
» Il y aura jamais cela . Annulation du concert P square de Novembre 2014 pour Ebola par le ministère de l’intérieur avec plus de 100.000 dollars de pertes. Jamais de dédommagement . Cette vision n’existe pas en Guinée, donc les licences que nous payons pour mériter ce statut n’ont aucun sens . Dommage . » Tidiane Soumah, le patron de la structure Tidiane World Music.
» On dépense des fortes sommes ils sont dans les bureaux climatisé aucune mesure d accompagnement. » Desailly Showbiz, il est agent culturel et travaille pour le label Koundouwaka Production.
» Si rien n’est fait. C’est la faillite assurée pour nous jeunes entrepreneurs qui portons la culture guinéenne sur fond propre. Y’a une crise sanitaire ok La décision est juste okMais Que deviennent nos investissements ?? » Moussa M’Baye du groupe Degg J Force 3 et boss du label Meurs Libre Prod.